vendredi 13 mai 2011

J'ai envie de vous parler de plein de choses ça se bouscule de partout et pas vraiment le temps de trier, alors en vrac :

Le Musée d'art moderne de Montréal : y'a qu'une chose à dire : ils ont touché le fond du fond. Une demi-salle d'exposition sans queue ni tête, avec des oeuvres interactives avec lesquelles il est interdit d'interagir et dont les sons se superposent les uns aux autres : un capharnaüm opressant et sans intérêt.
Une seule oeuvre intéressante, une vidéo de William Kentridge. Ils ont réussi à tout gâcher, lui qui a besoin d'une salle sombre et de silence, en la mettant au milieu d'une grande salle bruyante, à deux pas d'une autre oeuvre, un piano instrumentalisé qui beuglait des sons criards, peint en argenté. Écoeurée.
Cerise sur le gâteau, ils ont enlevé deux oeuvres de la collection permanente que j'aimais beaucoup : un grand cheval noir taillé de plans rectilignes, et un tableau abstrait dans lequel je voyais une spirale et des visages de spectres qui flottaient.
Si vous visitez montréal un jour, ne perdez pas de temps pour ce musée médiocre, même pas les mercredis gratuits.


La douce voix d'Hanne Hukkelberg, une petite perle qui vaut vraiment le détour. La musique me rappelle Wax tailor ou Sia de temps en temps.. C'est délicieux.





Olenka and the Autumn Lovers, ou le pouvoir infini de la beauté. Aussi passée en boucle pendant les longues heures de rédaction du mémoire, après avoir été subjugée par sa prestation sur scène vendredi dernier au Divan Orange. Un peu plus folk, un peu plus classique, et tellement canadien :

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Ayez pas peur, ça mord pas !