mercredi 16 février 2011

Melody Gardot


Bon, je pouvais pas vous parler de madeleine sans vous présenter Melody.

De mes trois nouvelles chanteuses de vieux jazz, je sais pas si c'est ma préférée (Parce que Stacey quand même, elle envoie..), mais c'est la première que j'ai découverte. Un album qu'un ami m'avait passé, découvert au hasard d'un shuffle général un jour de panne d'inspiration.

Des trois, c'est certainement la plus accessible. Elle parvient à inclure une indicible modernité dans ses mélodies, et la sensibilité toute contenue qu'elle exprime est universelle. Elle joue avec le jazz, flirte avec les styles, se tinte de bossa et de sons latinos, parfois même de rock. La perfection.

Tout est sensibilité concentrée, suave arrangement de nuances délicates. Elle ne s'épanche pas, elle chante, elle chantonne, elle ronronne, elle vit sa musique comme si sa vie en dépendait.

Il y a quelques années, la musique était la seule chose qui la raccrochait à la vie. Elle dit souvent que la musique lui a sauvé la vie. Et elle le lui rend bien.

Je m'arrête là, et vous laisse découvrir. Ouvrez les oreilles, quittez facebook, et fermez les yeux.. 

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