"Petit Papa Noël,
Donne moi une musique pleine de couleurs, une musique du soleil où on chante dans toutes les langues, une musique sans frontière. Une musique de la mer, la mienne, la méditerranée, une musique bleu profond, qui peut rugir et frémir à la fois. Dedans, je voudrais s'il vous plaît : du rock, un peu mais pas trop, du blues, du jazz (beaucoup) ,du hip-hop pour des bons beats, des sons africains qui nous emmènent en voyage, un peu de raggae, à peine perceptible, et surtout une belle voix qui lie le tout.
S'il te plait, exhausse mes prières, parce que je pars bientôt en vacances et j'ai vraiment besoin de rafraîchir mon Ipod sinon je vais mourir, tu comprends. Merci bocou.
Nina"
Ça faisait longtemps que j'avais pas eu de coup de cœur musical comme ça. C'est ma copine Camille qui m'a fait découvrir Hindi Zahra malgré elle, en me proposant d'aller la voir en concert pour le Festival des nuits d'Afrique, moi qui, inculte, n'avais jamais entendu parler de cette merveille.
Son style particuler, un mélange d'influences arabes, afro-american beat et de jazz, c'est comme si elle lisait dans mes pensées d'envies musicales, une connexion invisible déconcertante. Une musique du soleil direct dans les oreilles, ces sons incroyables qui se superposent et forment un style tellement cohérent que ça semble vieux de millions d'années. Ca paraît maintenant tellement évident de les mélanger ensemble ces sons là.
Son premier album, "Handmade" est surprenant de limpidité. Surtout le morceau "At the same time", où sa voix s'entremêle à des instruments traditionnels, à une guitare suave, joue avec les sons comme la fumée d'une chicha qui s'estompe lentement, avant de repartir sur un rythme blues lancinant.
J'ai finalement pas pu aller au concert (Niourk oblige voyez-vous), mais je la surveille de près, la prochaine fois je la rate pas. Pour plus d'info, le myspace est par là et son site officiel est ici. Enjoy !
Donne moi une musique pleine de couleurs, une musique du soleil où on chante dans toutes les langues, une musique sans frontière. Une musique de la mer, la mienne, la méditerranée, une musique bleu profond, qui peut rugir et frémir à la fois. Dedans, je voudrais s'il vous plaît : du rock, un peu mais pas trop, du blues, du jazz (beaucoup) ,du hip-hop pour des bons beats, des sons africains qui nous emmènent en voyage, un peu de raggae, à peine perceptible, et surtout une belle voix qui lie le tout.
S'il te plait, exhausse mes prières, parce que je pars bientôt en vacances et j'ai vraiment besoin de rafraîchir mon Ipod sinon je vais mourir, tu comprends. Merci bocou.
Nina"
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Ça faisait longtemps que j'avais pas eu de coup de cœur musical comme ça. C'est ma copine Camille qui m'a fait découvrir Hindi Zahra malgré elle, en me proposant d'aller la voir en concert pour le Festival des nuits d'Afrique, moi qui, inculte, n'avais jamais entendu parler de cette merveille.
Son style particuler, un mélange d'influences arabes, afro-american beat et de jazz, c'est comme si elle lisait dans mes pensées d'envies musicales, une connexion invisible déconcertante. Une musique du soleil direct dans les oreilles, ces sons incroyables qui se superposent et forment un style tellement cohérent que ça semble vieux de millions d'années. Ca paraît maintenant tellement évident de les mélanger ensemble ces sons là.
Son premier album, "Handmade" est surprenant de limpidité. Surtout le morceau "At the same time", où sa voix s'entremêle à des instruments traditionnels, à une guitare suave, joue avec les sons comme la fumée d'une chicha qui s'estompe lentement, avant de repartir sur un rythme blues lancinant.
J'ai finalement pas pu aller au concert (Niourk oblige voyez-vous), mais je la surveille de près, la prochaine fois je la rate pas. Pour plus d'info, le myspace est par là et son site officiel est ici. Enjoy !
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